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Services financiers

Alma : Offrir un paiement fractionné, simple et sûr, avec Google Cloud

28 avril 2021
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Louis Chatriot

Cofounder and CEO, Alma

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Les nouveaux clients peuvent explorer et évaluer Google Cloud avec des conditions exceptionnelles.

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En France, où Alma a été fondée, les formules de type "achetez maintenant, payez plus tard" n'ont longtemps été viables que pour les grandes entreprises, capables de s'appuyer sur une trésorerie importante et sur des limites de crédit élevées pour couvrir les coûts dans l'attente des paiements. Les plus petites entreprises ne pouvaient pas proposer ces formules, car elles n'étaient pas en mesure d'assumer les risques financiers ou d'obtenir le même niveau de soutien des banques. Par ailleurs, l’expérience client proposée par ces services n’était pas suffisamment en phase avec les attentes des consommateurs et des marchands. Jusqu'à l'entrée en scène d'Alma et de sa plate-forme de paiements échelonnés facile à installer, avantageuse à la fois pour les vendeurs et pour leurs clients.

Si un vendeur fait appel à Alma, que ce soit en ligne ou en magasin physique, Alma lui verse immédiatement son argent, ce qui lui épargne les risques financiers. Quant aux clients, ils profitent de tous les avantages du paiement en plusieurs fois avec une expérience de premier ordre. 

Déjà des résultats avec Google Cloud

  • Une évolution des opérations rapide avec les services gérés de Google Cloud
  • La conformité avec les réglementations financières simplifiée, avec et une assistance accrue et une sécurité supérieure via le cloud 
  • Plus de 300 millions d'euros de paiements traités   

L'offre "Achetez maintenant, payez plus tard" est risquée pour un commerçant : en plus de devoir courir après les acheteurs, il peut se retrouver face à des paiements tardifs, voire des annulations. Mais les avantages peuvent être très intéressants. " En tant que vendeur, si vous proposez ce type de formule de paiement en point de vente, vous en retirerez principalement trois bénéfices : une amélioration des taux de conversion, une augmentation de la taille du panier moyen et un véritable bond au niveau de la satisfaction client ", explique Louis Chatriot, cofondateur et PDG d'Alma, start-up française de la fintech spécialisée dans les paiements fractionnés.   

Choisir Google Cloud pour sa rapidité et sa simplicité

À sa création fin 2017, Alma se composait de Louis Chatriot, de son cofondateur et de deux développeurs. Comme dans la plupart des start-up, les ressources étaient restreintes. L'équipe savait dès le premier jour qu'elle opterait pour une infrastructure cloud, et après une courte période de tests, elle a choisi Google Cloud.  

"Pour nous, les aspects les plus attractifs de Google Cloud sont sa facilité d'utilisation et sa rapidité d'adaptation", indique Louis Chatriot. "Il a suffi de quelques jours pour que notre infrastructure soit opérationnelle, ce qui est vital pour une start-up." 

Lorsqu'un vendeur choisit de travailler avec Alma, il n'est pas contraint de réorganiser tout son système de paiement. Il n'a qu'à ajouter le plug-in Alma à sa page Web ou, dans le cas de magasins physiques, utiliser un navigateur pour pouvoir encaisser son premier paiement en seulement quelques minutes. Le commerçant se connecte à la plate-forme Alma via plusieurs API pour obtenir son reversement instantané, tandis qu'Alma facilite le processus de paiement en plusieurs fois.  

L'infrastructure d'Alma est basée sur une architecture complexe de microservices gérés avec Google Cloud Run. L'entreprise utilise Google Cloud SQL pour la gestion de sa base de données et stocke ses données en toute sécurité dans des buckets Google Cloud Storage.  

Alma cherche constamment des moyens d'améliorer ses services et de gagner en fluidité, c'est pourquoi une journalisation précise est essentielle. Google Cloud Logging (anciennement Stackdriver) fournit à l'entreprise une solution de journalisation complète.  

"Pour une entreprise qui n’a pas une grande équipe dédiée à l’infrastructure, la journalisation peut être un véritable casse-tête, mais Google Cloud Logging s'intègre totalement à tous les autres services, et nous n'avons pas à nous occuper de sa gestion", poursuit Louis Chatriot. "C'est fondamental pour nous en termes de débogage et d'optimisation." 

Si l'infrastructure technologique d'Alma est bâtie avec Google Cloud, les workflows de l'entreprise sont façonnés par Google Workspace. Alma a opté pour Google Workspace, qui est en adéquation parfaite avec les habitudes de travail de ceux qui évoluent depuis toujours dans le numérique, est facile à utiliser et apporte une grande valeur ajoutée grâce aux échanges interactifs. "Tous les collaborateurs que je recrute ont déjà utilisé Gmail. Je n'ai eu à convaincre personne de ses atouts", raconte Louis Chatriot.  

En plus de Gmail, Alma utilise Google Agenda et Google Meet pour faciliter la communication lorsque les réunions en personne sont impossibles. En parallèle, la collaboration n'a jamais été aussi simple grâce à Google Docs, Google Sheets et Google Slides, avec leurs fonctionnalités de modification en direct par plusieurs utilisateurs, des fonctionnalités fortement appréciées par ces temps de télétravail plus que recommandés. 

Développer plus rapidement les équipes 

Avec l'appui central de Google Cloud et Google Workspace, Alma a pris rapidement de l'ampleur. En novembre 2018, l'entreprise avait perfectionné son produit minimum viable. Début 2019, elle le lançait sur le marché pour la première fois. Au cours des deux années écoulées depuis, Alma a équipé plusieurs milliers de marchands, levé plus de 60 millions d'euros en fonds propres et traite désormais plus de 300 millions d'euros de paiements chaque année. Grâce à la stabilité et à la simplicité d'utilisation de Google Cloud, Alma a pu s'affranchir de la gestion de l'infrastructure et se concentrer sur son cœur de métier.

"Nous ne pourrons jamais concevoir une meilleure infrastructure que Google. Il est inutile de consacrer des ressources à la plate-forme, qui remplit pleinement son rôle", explique Louis Chatriot. "Le nôtre, c'est de proposer des solutions financières dédiées au commerce. Avec Google Cloud, nous pouvons nous concentrer sur notre mission première."

Alma a réalisé des investissements considérables sur sa plate-forme technologique (plus de 60 millions d'euros levés auprès d'investisseurs depuis 2018) pour continuer à soutenir les marchands tout en offrant aux clients une expérience d'achat fluide et intuitive. 

En plus d'étendre sa clientèle, Alma a agrandi considérablement ses équipes, malgré les effets de la pandémie. L'entreprise compte aujourd'hui plus de 50 employés et l’effectif devrait atteindre 150 à la fin de l’année. Cette expansion est due, en partie, à la facilité et à la rapidité avec lesquelles les nouveaux membres de l'équipe peuvent prendre en main l'interface familière et intuitive de Google Workspace. Alma est en plein développement et cherche à tripler son personnel sur l'année à venir. "Je ne me fais absolument aucun souci sur l'intégration de nouveaux collaborateurs avec Google Workspace", se félicite Louis Chatriot.  

Les mêmes opportunités pour tous

Alma poursuit sa croissance rapide avec des opérations prévues dans plusieurs pays d'Europe autres que la France. Mais son objectif va au-delà de simplement développer ses activités. En prenant en charge de plus en plus de paiements et d'offres avec un nombre croissant de clients, l'entreprise devient une institution financière plus puissante, qualifiée par Louis Chatriot de "quasi-banque", qui requiert des procédures de conformité plus rigoureuses. Les régulateurs de la Banque de France appliquent des protocoles extrêmement stricts aux fournisseurs de technologies externes, mais les mesures de sécurité renforcée de Google Cloud ont radicalement simplifié le processus pour Alma. L'entreprise a travaillé de manière approfondie avec les représentants Google Cloud pour faire en sorte que les conditions d'utilisation soient plus adaptées aux réglementations financières.  

Pour Louis Chatriot, le partenariat durable entre Google Cloud et Alma est certes consolidé par des intérêts commerciaux, mais aussi par une philosophie partagée. 

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